Journal de Montreal, 28 juillet 2012 Je relisais cet après-midi le Précis de décomposition (1949) de Cioran, un philosophe qui a exploré les replis les plus intimes de l’âme humaine. Qui n’a pas hésité à s’enfoncer dans ses zones les plus sombres pour la dévoiler. J’y retrouve ce passage. «Je n’aime que l’irruption et l’effondrement des choses,… Continue lendo “Cioran, la révolution et le nihilisme” (Mathieu Bock-Côté)